En 2025*, 25% des actifs vivront avec une maladie chronique.
*Selon le Conseil économique social et environnemental (CESE).
Grâce à L'efficacité des traitements et à l'allongement du départ à la retraite, la maladie se chronicise et la part des personnes qui travaillent avec un handicap (souvent invisible) augmente.
Chaque jour 1 000 personnes apprennent qu'elles ont un cancer et parmi elles 400 travaillent.
Plus largement, si l’on ajoute aux 15 % des actifs qui vivent avec une maladie chronique les 15 % d’ aidants familiaux, le sujet touche de près 30 % des salariés !
Cette réalité rime souvent avec difficultés et coûts.
29 % des personnes malades voient leurs revenus baisser.
1 sur 3 quitte l’emploi 2 ans après le diagnostic d’un cancer…
C’est humainement inacceptable.
Entre les salaires versés, le temps passé par les autres salariés à compenser les dysfonctionnements induits et l’achat de services externes non prévus : le coût caché de l’absentéisme est gigantesque et équivaut annuellement à 4 059 euros par salarié, soit 108 milliards d'euros par an !
C’est économiquement irresponsable. Et cela n'a pas de sens !
Mener une politique d'inclusion de la maladie au travail présente de nombreux bénéfices :
Prévenir la désinsertion professionnelle
Réduire les coûts associés
Favoriser le maintien dans l'emploi
Améliorer les relations humaines
Réduire le taux d'absentéisme
Générer de l'engagement
Développer sa marque employeur
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